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mardi 26 avril 2016
L'assemblée générale du Syndicat d'apiculture et du groupement de défense sanitaire apicole de Haute-Savoie
Par J-P Amoudry le mardi 26 avril 2016, 15:41 - Articles de presse
mardi 20 mars 2012
Réponse de Monsieur le Ministre de l'Agriculture, de l'Alimentation, de la Pêche, de la Ruralité et de l'Aménagement du Territoire, concernant le statut du pollen de maïs MON 810 dans le miel
Par J-P Amoudry le mardi 20 mars 2012, 11:56 - Activité Sénat
jeudi 8 mars 2012
Réponse à la question écrite n°21792 concernant les dangers de la culture des plantes génétiquement modifiées pour l'apiculture
Par J-P Amoudry le jeudi 8 mars 2012, 18:22 - Activité Sénat
Question écrite n° 21792 adressée à Monsieur le Ministre de
l'Agriculture, de l'Alimentation, de la Pêche, de la Ruralité et de
l'Aménagement du Territoire
Publiée dans le JO Sénat du 12/01/2012 - page 65
Jean-Paul Amoudry appelle l'attention de Monsieur le Ministre de l'Agriculture,
de l'Alimentation, de la Pêche, de la Ruralité et de l'Aménagement du
Territoire sur la menace que représente, pour la profession apicole, la culture
en plein champ de plantes pollinifères génétiquement modifiées (PGM), suite à
l'arrêt rendu par la Cour de justice de l'Union européenne, le 8 septembre
2011, interdisant la commercialisation du miel contenant des pollens de maïs
MON 810, qui présentent des traces d'ingrédients produits à partir d'organismes
génétiquement modifiés (OGM).
En effet, la présence de PGM pollinifères dans la zone de butinage des abeilles, rendant impropres à la consommation les miels produits, entraînera la disparition de l'apiculture et donc de l'abeille avec toutes les conséquences connues sur la flore et sur les cultures.
Par ailleurs, dans l'hypothèse où une modification de la directive 2001/110/CE du 20 décembre 2001 relative au miel permettrait d'introduire une dérogation concernant le pollen MON 810 par rapport à l'alimentation humaine, les produits de la ruche n'échapperaient pas à l'étiquetage obligatoire « contient des OGM », et seraient irrémédiablement dépréciés.
C'est pourquoi, il lui demande de bien vouloir lui indiquer les mesures que le Gouvernement entend prendre pour non seulement maintenir l'interdiction de mise en culture du maïs MON 810 sur le territoire français, mais aussi orienter les préoccupations de la Commission européenne sur le non-renouvellement de l'autorisation de culture de cette variété, ainsi que de toutes PGM nectarifères ou pollinifères.
Il lui demande également si le Gouvernement entend saisir le comité scientifique du Haut Conseil des biotechnologies sur la coexistence ruches/OGM.
vendredi 13 janvier 2012
Question écrite relative aux dangers de la culture des plantes génétiquement modifiées pour l'apiculture
Par J-P Amoudry le vendredi 13 janvier 2012, 23:51 - Activité Sénat
Question écrite n° 21792 de M. Jean-Paul Amoudry (Haute-Savoie - UCR)
publiée dans le JO Sénat du 12/01/2012 - page 65
Jean-Paul Amoudry appelle l'attention de Monsieur le Ministre de
l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de
l'aménagement du territoire sur la menace que représente, pour la profession
apicole, la culture en plein champ de plantes pollinifères génétiquement
modifiées (PGM), suite à l'arrêt rendu par la Cour de justice de l'Union
Européenne, le 8 septembre 2011, interdisant la commercialisation du miel
contenant des pollens de maïs MON 810, qui présentent des traces d'ingrédients
produits à partir d'organismes génétiquement modifiés (OGM).
En effet, la présence de PGM pollinifères dans la zone de butinage des
abeilles, rendant impropres à la consommation les miels produits, entraînera la
disparition de l'apiculture et donc de l'abeille avec toutes les conséquences
connues sur la flore et sur les cultures.
Par ailleurs, dans l'hypothèse où une modification de la directive
2001/110/CE du 20 décembre 2001 relative au miel permettrait d'introduire une
dérogation concernant le pollen MON 810 par rapport à l'alimentation humaine,
les produits de la ruche n'échapperaient pas à l'étiquetage obligatoire
« contient des OGM », et seraient irrémédiablement dépréciés.
C'est pourquoi, il lui demande de bien vouloir lui indiquer les mesures que
le Gouvernement entend prendre pour non seulement maintenir l'interdiction de
mise en culture du maïs MON 810 sur le territoire français, mais aussi orienter
les préoccupations de la Commission européenne sur le non-renouvellement de
l'autorisation de culture de cette variété, ainsi que de toutes PGM
nectarifères ou pollinifères.
Il lui demande également si le Gouvernement entend saisir le comité scientifique du Haut Conseil des biotechnologies sur la coexistence ruches/OGM.
jeudi 29 septembre 2011
Réponse à la question écrite n° 19294 relative à l'autorisation du Cruiser OSR
Par J-P Amoudry le jeudi 29 septembre 2011, 17:42 - Activité Sénat
Question n° 19294 adressée à Monsieur le Ministre de l'agriculture, de
l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du
territoire
Publiée le : 07/07/2011
Texte de la question : Jean-Paul Amoudry appelle l'attention de M. le
ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de
l'aménagement du territoire sur l'autorisation du Cruiser OSR délivrée le 3
juin 2011 pour le traitement des semences de crucifères oléagineuses telles que
le colza. Cet insecticide systémique utilisé en enrobage de semences est
composé de trois substances actives, thiaméthoxam (insecticide), fludioxonil et
métalaxyl-M (foncigides), d'une extrême toxicité pour les abeilles. Il a été
évalué par l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de
l'environnement et du travail (ANSES) le 15 octobre 2010 selon une méthode
déclarée illégale par le Conseil d'État le 16 février 2011, lors de
l'annulation des autorisations du Cruiser précédemment délivrées en 2008 et
2009, cependant que le rapporteur public au Conseil d'État a d'ores et déjà
demandé l'annulation d'une autre autorisation du Cruiser délivrée en 2010.
Cette évaluation non conforme aux exigences légales ne prend au surplus pas en
compte les conséquences pour le cheptel apicole d'une synergie des substances
actives entre elles. L'utilisation du Cruiser OSR sur le colza est une source
majeure d'inquiétude pour l'avenir du cheptel apicole français car cette plante
très visitée par les abeilles est essentielle en début de saison où elle permet
aux colonies de se rétablir après la période hivernale. Plusieurs États
producteurs de miel, membres de l'Union européenne, ont d'ores et déjà retiré
du marché les produits à base de thiaméthoxam et en dernier lieu la Slovénie en
avril 2011. Au vu de ces éléments, il lui demande s'il entend abroger
l'autorisation du Cruiser OSR qu'il vient de donner sur le colza, ainsi que le
lui ont demandé les organisations professionnelles nationales de l'apiculture
française.
vendredi 8 juillet 2011
Question écrite sur l'autorisation du Cruiser OSR
Par J-P Amoudry le vendredi 8 juillet 2011, 11:34 - Activité Sénat
Jean-Paul Amoudry appelle l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur l'autorisation du Cruiser OSR délivrée le 3 juin 2011 pour le traitement des semences de crucifères oléagineuses telles que le colza.